Guide « S’installer en Ariège » : Voyages vers Soi pour accompagner les évolutions professionnelles des néo-ariégeois

Tarik Bellefqih a été invité par les auteurs du tout nouveau guide S’installer en Ariège à témoigner de son installation dans le département. L’occasion également de rappeler comment Voyages vers Soi peut accompagner les nouveaux installés à envisager sereinement une reconversion sur leur nouveau lieu de vie, réussir leur nouvelle prise de poste, mettre en œuvre leur projet d’entreprise... à être pleinement épanouis dans leur nouvelle aventure personnelle et professionnelle.

Extrait du livre disponible aux Editions Héliopoles, un ouvrage coordonnée par l’Agence Ariège Attractivité qui accompagne les porteurs de projet à s’installer.

"Tarik Bellefqih a exercé le métier d’avocat dans un cabinet bordelais renommé avant de se reconvertir dans une ONG humanitaire, toujours à Bordeaux, où il encadrait des équipes d’insertion socio-professionnelle et d’urgence. Etienne Rouet était en charge du mécénat à l’Opéra de Bordeaux après avoir travaillé au développement international de la marque Moulin Rouge, le cabaret parisien. Les deux partenaires ont découvert l’Ariège en 2021, à l’occasion d’un séjour dans le Volvestre. Puis ils sont revenus, une fois, deux fois, avant de se décider à sauter le pas. Leur reconversion serait ariégeoise, dans un hameau de la vallée de Massat, à 750 m d’altitude. Tarik est devenu consultant en bilans de compétences et coach certifié, accompagnant entreprises et particuliers « pour cheminer vers ce qui fait sens pour eux ». Voyages vers Soi est né.

De son côté, Etienne s’est tourné vers l’agroécologie. Après deux années de préparation d’un terrain escarpé, la Microferme du Val d’Arac a produit en 2024 suffisamment de légumes pour proposer au public des plats préparés (soupes, pestos, purées, tartinades…). « La production et la fabrication sont artisanales, précise Etienne, mais la stérilisation est professionnelle grâce à la location d’un autoclave chez Renova, à Daumazan. » Les 900 premiers bocaux sont vendus en direct, notamment sur le marché de Saint-Girons. L’activité démarre doucement, comme prévu, et ils espèrent prochainement accueillir à la ferme pour des séjours de ressourcement. « Nous avons été immédiatement conquis par la sociologie ariégeoise, ce mélange de natifs et de néoruraux, confie Tarik. Il y a ici une chaleur, une convivialité remarquable et, en même temps, les rapports humains sont très simples. Exactement ce que nous recherchions. »"

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